19 octobre 2014, 21h01
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Dès le début de Hanadama, film japonais programmé dans la magnifique salle Paderewski du Casino de Montbenon au «Lausanne Underground Film & Music Festival», et qui raconte le harcèlement subi par une étudiante tokyoïte, on a la sensation d’assister à une festival unique au monde. Un événement de niche certes mais socialement et artistiquement riche. Julien Bodivit, un fondu de cinéma indépendant qui avait tenté de percer dans ce milieu en Californie dans les années 1990 co-dirige le Luff et...
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