28 novembre 2018, 9h54
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Facebook a reconnu mardi avoir été alerté dès 2014 par ses ingénieurs d'activités russes suspectes sur sa plate-forme, soit avant que les faits ne soient révélés au public. Le réseau social n'avait toutefois pas pu confirmer l'existence d'une campagne malveillante.
Le géant américain des réseaux sociaux est depuis plusieurs mois dans le viseur de la commission sur le numérique, la culture et les médias (DCMSC) de la chambre des communes britannique, dans le cadre d'une enquête sur le phénomène ...
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