11 août 2016, 20h30
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Il faut commencer par relativiser. La présence de DKSH dans la production horlogère en Suisse est largement discutée depuis que l’intention de vendre les actifs, en particulier la marque Maurice Lacroix, a été rendue publique, en 2015, mais cela reste un élément très annexe de la stratégie globale, centrée sur les services d’expansion commerciale en Asie. La vente des montres Glycine à l’américain Invicta, annoncée hier, est un événement encore plus mineur à l’échelle du zurichois DKSH, qui a ré...
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