19 juin 2012, 22h09
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Pratiquement aucun pays ne lutte efficacement contre le blanchiment d’argent et la Suisse est injustement attaquée, estime Andreas Frank, ancien de Goldman Sachs et conseiller auprès de l’Union européenne et du Bundestag pour les questions de blanchiment. Européen convaincu, cet Allemand résident à Zoug se déclare partisan de la protection de la sphère privée et de l’autorégulation à la suisse, à condition qu’elle soit plus transparente et fasse elle-même l’objet d’une surveillance serrée.
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