31 octobre 2016, 20h07
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Si l’initiative des Verts «Sortir du nucléaire» passe la rampe fin novembre, Alpiq évalue son dommage économique à environ 2,5 milliards de francs. Le groupe contrôle 40% des actions de la centrale de Gösgen (SO) et 32,4% de celles de Leibstadt (AG). «Un arrêt anticipé volontaire n’est économiquement pas viable pour l’entreprise». Les calculs effectués pour toutes les variantes de sortie du nucléaire démontrent que la poursuite à long terme de l’exploitation est la solution la moins dommageable ...
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