25 juillet 2017, 12h18
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Détecter les sources de pollution dans l’eau, à l’aide d’un robot-serpent équipé de capteurs chimiques, physiques et biologiques. Tel est le projet ambitieux financé par le programme suisse Nano-Tera, auquel participent des chercheurs de l’EPFL. Baptisé «Envirobot», le robot, d’une taille de près d’1,5 mètre, se déplace à la manière d’une anguille dans les lacs et les cours d’eau, sans remuer de vase ou perturber la faune aquatique. Grâce à ses capteurs, il est capable d’effectuer des mesures à ...
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