05 octobre 2016, 20h37
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Les organisations onusiennes sont encore souvent vues comme fonctionnant en silos, dans une logique très internationale et top down. Une culture qui est en train de changer ces dernières années, avec une volonté d’inclure davantage le secteur privé notamment. On pourra dire que c’est un serpent de mer, en particulière à Genève au niveau financier: les organisations internationales sur la rive droite, les banques sur la rive gauche, et très peu de ponts entre les deux avec des agendas, un langage...
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