05 février 2015, 22h26
Partager
L’abandon de l’arrimage du franc à l’euro a créé une certaine inquiétude et il est beaucoup question de récession. Ce n’est pas l’opinion de Paul Wetterwald et de Marie Owens, chefs économistes de Crédit Agricole Private Banking basé en Suisse, qui n’envisagent pas un scénario récessionniste pour la Suisse à contrario de certaines prévisions. Avant l’annonce de la BNS, leur perspective de croissance pour 2015 se situait à 2,3%, légèrement supérieure à celle de la Confédération à 2,1%. Ils ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT