26 avril 2019, 16h29
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«Il y a trois décennies, il existait encore une production européenne, en France et en Italie notamment. Mais à la fin des années nonante, tout a été délocalisé en Chine. C’était une période difficile», se souvient Pierre-Yves Bonvin, à la tête de Steiger. L’entreprise valaisanne conçoit des machines à tricoter pour la mode haut de gamme. En plus de celle à son siège de Vionnaz, elle dispose d’une autre usine en Chine. «Nous avons dû suivre nos clients en Asie. Cette ouverture chinoise, en 2007,...
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