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Déjà réengagé dans la croissance

Acino. Le going private se présente comme la bonne formule alors que le groupe pharma bâlois cherche à accélérer son déploiement.

02 octobre 2013, 22h23
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«Nous n’avions pas besoin de vendre, mais c’est la meilleure solution, pour le groupe, pour les collaborateurs.» Luzi von Bidder, président du pharma Acino (basé à Aesch, Bâle) depuis près d’une décennie, inventorie déjà les signes de réussite de l’opération: alignement complet du conseil d’administration et du management. Alignement aussi du négoce et du marché, dont la réaction hier ne laisse pas de doute sur le fait que le going private est en train de se produire. Et cela devrait se produire...
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