«Dans dix ans, les banques qui ne sont pas capables de gérer des cryptoactifs pourraient disparaître» 

De prime abord, Metaco évoque plutôt des activités de construction ou de métallurgie. Mais le nom de la fintech lausannoise se compose en réalité du préfixe «meta», du grec ancien pour «au-delà» (très au goût du jour depuis que Facebook en a fait son patronyme), et «co» qui illustre la notion de monnaie, pour «coin». La start-up porte donc haut son crédo en l’aspect intangible des monnaies numériques.Fondée en 2014, l’entreprise a lancé son offre de stockage sécurisé pour les crypto-actifs en 20...