04 août 2022, 20h45
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Pourtant née au milieu des ceps sur la rive droite du Rhône, Sandrine Caloz s’est découvert une vocation plutôt tardive. «Nous étions quatre filles à la maison. Et le travail de la terre pour aider nos parents à la vigne, les mercredis après-midi d’été, ne nous a pas vraiment motivées à persévérer dans cette voie», confie-t-elle.Une année les mains dans le cambouis en Argovie et des stages durant son Bachelor en œnologie l’ont finalement convaincue de poursuivre l’aventure du bio commencée par s...
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