03 octobre 2012, 22h36
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La BRI a fait apparaître en début de semaine un désaccord fondamental avec la manière dont les régulateurs européens comptent appliquer les exigences de Bâle III. Ses remarques équivalent in fine au refus d’accepter globalement les obligations souveraines en tant qu’actif sans risque, donc sans aucun besoin de couverture en capital propre. Plus précisément, les grandes banques utilisant l’approche basée sur des méthodes d’évaluation internes (IRB) auraient le droit, selon la régulation européenn...
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