13 janvier 2017, 7h18
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Fiat Chrysler est accusé d'avoir violé les lois américaines sur la pollution de l'air en dissimulant l'existence d'un logiciel équipant 104.000 de ses véhicules aux Etats-Unis, ouvrant la voie à un nouveau "dieselgate" après le scandale Volkswagen. Le groupe américano-italien a immédiatement rejeté ces accusations, récusé tout parallèle avec son rival allemand, et exprimé le souhait de régler "équitablement" cette affaire avec la future administration Trump. Selon les autor...
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