09 février 2019, 9h37
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Alstom n'a pas trop de soucis à se faire à court terme après le veto européen à sa fusion avec les activités ferroviaires de Siemens, mais l'évolution du marché et la concurrence chinoise pourraient l'amener à envisager tôt ou tard d'autres fiançailles.
"Alstom, sans Siemens, avait plutôt très, très bien marché ces dernières années", avec des finances saines et un carnet de commandes bien rempli rappelle Bertrand Mouly-Aigrot, associé au cabinet Archery.
"Aucun n'avait un besoin...
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