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Alpiq: une sortie du nucléaire coûterait 2,5 milliards au groupe

Un arrêt anticipé volontaire n'est économiquement pas viable pour l'entreprise. Les calculs montrent que, dans le système actuel, la poursuite à long terme de l'exploitation est la variante économique la moins dommageable, selon Alpiq.

Dans le cas d'une acceptation l'initiative des Verts, Gösgen devra être arrêtée en 2024 et Leibstadt en 2029.
Dans le cas d'une acceptation l'initiative des Verts, Gösgen devra être arrêtée en 2024 et Leibstadt en 2029.
31 octobre 2016, 8h18
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Une votation en faveur de la sortie du nucléaire en Suisse coûterait 2,5 milliards de francs à Alpiq, a averti lundi le groupe énergétique, alors que l'initiative "Sortir du nucléaire" doit être soumise au vote populaire le 27 novembre. "Un arrêt anticipé volontaire n'est économiquement pas viable pour l'entreprise. Les calculs montrent que, dans le système actuel, la poursuite à long terme de l'exploitation est la variante économique la moins dommageable pour Alpiq", a préc...
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