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Pourquoi les investissements sont-ils devenus obsolètes dans le dessalement ?

Quelles sont les conséquences et la solution ?

Pourquoi les investissements sont-ils devenus obsolètes dans le dessalement ?
31 janvier 2024, 9h15
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Résumé

Les techniques de dessalement, polluantes et encore chères, sont devenues obsolètes. Quelles en sont les conséquences ? Seule MUDT résout les problèmes de l’eau et de ses multiples ramifications comme la sécurité alimentaire globale ou la sécheresse.

Historique de l’obsolescence des technologies de dessalement

L'histoire des technologies de dessalement est une saga de progrès constants marquée par des innovations et des défis. Depuis les premières unités de dessalement au début du 20ème siècle, qui utilisaient des méthodes d'évaporation brute, jusqu'à l'avènement des technologies plus sophistiquées comme la MSF (Distillation Flash Multi-Étapes) et la MED (Distillation Multi-Effets), chaque étape a représenté une avancée significative. Cependant, c'est l'osmose inverse (RO) et ses variantes qui ont dominé le paysage du dessalement moderne, offrant une efficacité accrue à un coût moindre. Malgré cela, l'osmose inverse, tout en étant moins coûteuse que les techniques précédentes, présente des inconvénients majeurs, notamment en termes d'impact environnemental et de coût de l'eau qui reste prohibitif, sauf pour les applications subventionnées et pour les activités à forte valeur ajoutée.

Inadaptation des méthodes actuelles

Le dessalement de l’eau de mer, seule source d’eau disponible et inépuisable, ne peut donc pas être réalisé par la méthode RO pour répondre aux besoins humains fondamentaux, qui sont l’obtention d’eau dessalée à faible coût et par des procédés non polluants. Par exemple pour l’agriculture, on estime que, pour nourrir une population mondiale croissante, la production agricole doit augmenter de 60% d'ici à 2050. Cette augmentation doit être réalisée malgré les défis climatiques et environnementaux, ce qui souligne l'urgence de solutions innovantes et durables. Tous les acteurs du dessalement qui le peuvent ont des programmes de R&D pour trouver des solutions de dessalement acceptables. Mais une inconnue demeure : au bout de combien d’années aboutiront-ils si jamais ils aboutissent et à quel prix ?

L’invention de MUDT (Multitasking Unconventional Desalination Technology = Technologie Multitâche de Dessalement Non Conventionnelle)

Alors que les sources d'eau douce traditionnelles sont mises à rude épreuve, que la sécheresse gagne du terrain et que les effets du changement climatique se font de plus en plus sentir, Scientechnix, société de recherche et de développement dirigée par le Professeur Alain ELAYI, a développé une technologie de dessalement qui surmonte les obstacles des méthodes de dessalement existantes.

Au cours d'une décennie de recherche et de développement scientifique rigoureux, Scientechnix a réalisé un exploit révolutionnaire : elle a développé une technologie de dessalement qui, non seulement répond à la pénurie mondiale d'eau, mais le fait à un coût suffisamment bas pour révolutionner l'irrigation agricole. Il ne s’agit pas simplement d’une amélioration progressive, mais d’un changement de paradigme dans la manière de gérer durablement les ressources en eau, en particulier pour la production alimentaire dans le cadre de la sécurité alimentaire mondiale.

Dans un article récent, Scientechnix a démontré qu’en agriculture, le plus bas coût d’eau dessalée qui existe est plus cher que le prix de la récolte.

Dans un autre article, Scientechnix donne l’exemple significatif d’une installation de dessalement de 10 000 m3 d’eau par jour, qui produirait du blé pour la consommation annuelle de 40 000 personnes pendant la durée de vie de l’installation de dessalement, soit 50 ans, dont le prix de l’eau est compatible avec le prix de production du blé. Ces chiffres s’appuient sur les méthodes d’irrigation préconisées par l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations Unis la FAO.

Scientechnixse soucie particulièrement des personnes qui souffrent de la faim chaque jour. Elle espère qu’elles bénéficieront aussi pleinement de cette technologie de dessalement utilisée dans l’agriculture.

Un exemple révélateur de l’obsolescence des techniques actuelles de dessalement

Prenons par exemple un des derniers projets de dessalement en cours, annoncé comme ayant le prix OPEX (Frais de Fonctionnement) de dessalement le plus bas à 0,3675$ par m3. Ce prix très bas a été obtenu parce qu’il bénéficie d'une énergie renouvelable à faible coût, d'un accord à long terme de 35 ans et d'une économie d'échelle de 800 000 m3/jour. Pour les petites installations, ce coût peut être multiplié par un facteur cinq et même plus.

Un calcul rapide montre que le coût annuel de cette eau est égal à 107 millions de dollars, soit environ 3,7 milliards de dollars sur 35 ans. Il est clair que c’est le coût de production de l’eau dessalée qui rend le dessalement finalement très cher. En plus, le coût environnemental est extrêmement élevé : 800 000 m3 de saumure rejetés dans l’environnement chaque jour. Si la quantité d’eau rejetée diminuait, la concentration en sel de la saumure augmenterait. La comparaison de cette technologie de dessalement, pourtant la moins chère, avec la technologie MUDT est sans appel : cette dernière ne pollue pas et le coût de production de l’eau passerait, pour la même quantité d’eau dessalée, de milliards dollars à des millions de dollars.

Les organisations mondiales comme celles qui dépendent de l’ONU, de la Banque Mondiale, de la Banque Européenne, … réclament toutes à corps et à cris une telle méthode de dessalement. Doit-on rappeler les résolutions de l’ONU de 2010 et 2012 sur les droits de l’homme à l’eau ? Scientechnix a réalisé l’exploit d’inventer cette méthode de dessalement pour résoudre ce problème. Il serait grand temps de collaborer avec elle pour le bien de tous.

Nouvelle mise en garde sur les investissements obsolètes

En 1990, le professeur Alain Elayi, qui est spécialiste du dessalement mais qui est avant tout physicien nucléaire, avait publié un article sur la Transmutation nucléaire.

L'histoire de la transmutation nucléaire, telle qu'évoquée par le professeur Alain Elayi en 1990, offre une leçon sur les conséquences de la négligence des avertissements scientifiques. Elayi avait prouvé que la transmutation des déchets radioactifs, bien que techniquement envisageable, se heurterait à des obstacles économiques insurmontables avec les technologies de l'époque. Malgré cet avertissement, des milliards ont été investis dans la recherche et le développement dans ce domaine, aboutissant finalement aux conclusions publiées par le professeur Elayi, mais après avoir payé un coût financier qui se chiffre en milliards de dollars.

Ce scénario historique trouve un écho inquiétant dans le domaine actuel du dessalement. Aujourd'hui, des avertissements similaires sont lancés concernant les coûts économiques et les impacts environnementaux des usines de dessalement. Ces avertissements suggèrent que les usines de dessalement pourraient devenir obsolètes avant même leur achèvement, engendrant des dépenses massives à perte.

Le parallèle entre ces deux situations est frappant : dans les deux cas, une expertise a identifié des problèmes fondamentaux dans les approches technologiques adoptées. Ignorer ces avertissements dans le domaine du dessalement pourrait mener à une répétition de l'histoire, où les coûts économiques et environnementaux pourraient dépasser de très loin les bénéfices escomptés. Cette perspective souligne l'importance cruciale d'écouter les avertissements scientifiques pour éviter des erreurs coûteuses.

Pour plus d'informations veuillez contacter Scientechnix

Pourquoi les investissements sont-ils devenus obsolètes dans le dessalement ?