17 janvier 2002, 0h00
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Lors de la fusion entre deux des grandes banques helvétiques sont naturellement apparus des doublons. En effet, à l’époque de la concurrence forcenée entre ces deux établissements, il était de coutume de trouver deux agences concurrentes à quelques mètres l’une de l’autre. Cette époque étant révolue, il fut temps de rationaliser en fusionnant également les locaux. En fait, une des deux surfaces était abandonnée au profit de l’autre, montrant rapidement la limite de cette approche stratégique: le...
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