19 avril 2001, 0h00
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Dans les «golden sixties», alors que la préoccupation principale des entreprises était de convaincre les clients d’acheter, indépendamment des attentes de ceux-ci, le comportement du consommateur était négligé. Le seul objectif étant qu’il sorte son portefeuille pour payer, son cheminement cognitif était inintéressant. Seul l’achat importait, qui, le plus souvent, terminait la relation commerciale, sauf si un défaut sous garantie imposait la mobilisation du service après-vente. De nos jours, la ...
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