02 mars 2012, 13h43
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Soumis à une forte pression venant de l’extérieur, les pays de la zone euro frappés par la crise se sont enfin engagés sur la voie douloureuse de l’austérité. Diminutions de salaire et licenciements de fonctionnaires vont ramener les nouveaux emprunts à un niveau tolérable. Pour autant, la compétitivité de la Grèce et du Portugal ne s’améliore pas. Les derniers chiffres d’Eurostat sur l’évolution de l’indice des prix de la production intérieure (le déflateur du PIB) ne montrent aucune tendance à...
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