18 août 2014, 21h45
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En tant qu’homme d’affaires, s’il est une chose que je redoute par-dessus tout, c’est la complaisance. Le relâchement qui suit une période de croissance des revenus, d’expansion et/ou d’augmentation des profits ne peut que conduire au désastre. Ainsi que l’a rappelé Andy Grove, autrefois CEO du géant américain Intel: «Le succès engendre la complaisance. La complaisance conduit à l’échec. Seules les entreprises paranoïaques survivent». C’est peut-être cela qui distingue les meilleures entreprises...
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