11 décembre 2017, 21h42
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Aucun autre mythe n’est aussi persistant que celui de l’augmentation des inégalités en Suisse. «We’re fucked» titrait récemment un magazine économique: la description d’une Suisse divisée, où résideraient principalement des personnes très riches et des working poors, suivait ce titre grossier. Bien que surprenantes par leur vulgarité linguistique, ces observations ne sont, au niveau du contenu, pas plus que de simples propos courants au sein de la population.Un débat à la mode
Il est deve...
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