05 février 2015, 22h15
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Les marchés financiers ont réagi à l’élection du nouveau gouvernement d’extrême-gauche de la Grèce de manière prévisible. Pourtant, bien que la victoire du parti Syriza ait fait plonger les actions et obligations grecques, il y a peu de signes de contagion à d’autres pays en difficulté de la périphérie de la zone euro. Les obligations espagnoles à dix ans, par exemple, se négocient toujours à des taux d’intérêt inférieurs aux bons du Trésor américain. La question est combien de temps ce calme re...
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