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Pour l’exclusion des denrées alimentaires

Cassis de dijon. Le principe a permis l’arrivée sur le marché de produits de piètre qualité qui ne font pas partie des standards suisses. Ils induisent le consommateur en erreur.

Sandrine Hanhardt Redondo
Centre patronal - Secrétaire patronale
15 juillet 2014, 21h14
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L’écoulement du temps a mis en évidence ce que l’on pouvait pressentir depuis le début: le principe du Cassis de Dijon – présenté par le Conseil fédéral comme son remède phare pour lutter contre la cherté et dynamiser la concurrence en Suisse – n’est pas la panacée et n’a pas eu les effets escomptés.

Les raisons pour lesquelles le Conseil fédéral avait voulu l’adopter unilatéralement et sans contrepartie aucune demeurent obscures. Cette erreur pourrait être en partie corrigée: à la suite...
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