20 mai 2012, 20h20
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En décembre 2010, au tout début du printemps arabe, nous avions signalé que les magnifiques élans de démocratie découlant de ces révolutions pouvaient avoir des répercussions collatérales autant inattendues qu’inquiétantes. D’un point de vue géopolitique d’abord, puisque les pare-feux face à l’islamisme radical et face à l’Iran s’amenuisaient littéralement, redessinant donc la carte stratégiques des pays arabes.
Ensuite, phénomène inquiétant, nous rappelions que l’afflux ou la crainte de ...
Ensuite, phénomène inquiétant, nous rappelions que l’afflux ou la crainte de ...
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