06 février 2014, 22h08
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A première vue, l’heure est à la fête. La croissance du PIB réel semble se situer aux alentours de 4% au second semestre 2013, soit près du double de la croissance à 2,2% enregistrée au cours des quatre années qui ont précédé. Le taux de chômage a fini par baisser en dessous du seuil de 7%. Et la Réserve Fédérale a validé ce scénario apparemment optimiste en réduisant ses achats d’actifs à long terme.
Mais mon conseil est de laisser le champagne au frais. Deux trimestres de reprise de la ...
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