14 octobre 2012, 19h18
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Le coût économique des règles renforcées de Bâle III en matière de fonds propres pour les grandes banques suisses est somme toute modeste. Le bénéfice est onze fois plus important. Ainsi conclut la première étude quantitative suisse cosignée par Peter Kugler, professeur d’histoire monétaire à l’Université de Bâle, et Georg Junge, spécialiste de la mesure et de la gestion du risque et collaborateur extérieur de la Finma. Elle confirme en tous points des travaux internationaux antérieurs du Comité...
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