09 juillet 2012, 22h59
Partager
Si la situation n’était pas si grave, on pourrait sourire. Ce n’est pas l’anxiété sur l’évolution de la croissance économique qui a fait chuter les matières premières, mais plutôt la crainte d’affronter des taux d’intérêt moins généreux: les rangs des spéculateurs s’en sont trouvés éclaircis.
Ce mouvement a même affecté les prix de l’or. Son affection, artificiellement cultivée par des vendeurs potentiels qui amplifient les peurs du moment, n’a pas suffi pour empêcher son prix d’essuyer l...
Ce mouvement a même affecté les prix de l’or. Son affection, artificiellement cultivée par des vendeurs potentiels qui amplifient les peurs du moment, n’a pas suffi pour empêcher son prix d’essuyer l...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT