15 juin 2015, 21h24
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On dit que l’humour meurt en dernier, même après l’espoir. Si tel est le cas, la résolution de la crise grecque est devenue une entreprise désespérée. En effet, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, généralement jamais à court de plaisanteries, avait l’air grave avant la réunion du G7 durant laquelle il a implicitement accusé son «ami», le Premier ministre grec Alexis Tsipras, de lui avoir menti.
Samedi dernier, M. Juncker aurait même refusé de prendre un appel téléphon...
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