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Les bonnes nouvelles sont pourtant là

La troisième crise de la Grèce n’a eu aucun impact sur la croissance du produit intérieur brut. Un signal particulièrement positif.

Andreas Höfert (Chef économiste UBS Wealth Management)
Andreas Höfert (Chef économiste UBS Wealth Management)
31 août 2015, 21h30
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Les investisseurs s’adaptent avec peine au nouveau cadre narratif qui voit les marchés émergents avoir passé le relais de la croissance mondiale aux économies développées. Nombreux sont ceux qui en doutent encore. Ils pensent plutôt que le cycle d’hyper-croissance mondiale tiré par les BRIC (et surtout par la Chine) ces quinze dernières années, consommant carburants et autres matières dont ils ont fait exploser les prix, est tout simplement terminé... et qu’il n’y a pas d’alternative comme mot...
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