31 août 2014, 19h47
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Aux États-Unis, au Japon et en Europe, la croissance du PIB s’est essoufflée à nouveau dans la première moitié de 2014. Ces revers ne sont certainement pas le fait d’une coïncidence. Une croissance anémique persistante dans le monde développé a laissé les économies majeures particulièrement vulnérables aux inévitables dos d’âne de la conjoncture.
Bien sûr, il y a des excuses, comme toujours. Un repli de l’économie américaine dans le premier trimestre de l’année a été mis sur le compte de ...
Bien sûr, il y a des excuses, comme toujours. Un repli de l’économie américaine dans le premier trimestre de l’année a été mis sur le compte de ...
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