01 septembre 2015, 22h22
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L’Institut d’études financières (IFZ) de l’Université de Lucerne a demandé à des membres de la direction générale de banques suisses (124 au total) leur avis sur l’utilité des «chats» en ligne en tant que canaux de communication digitaux. Leur importance est un peu mieux perçue que l’année dernière, mais à leurs yeux reste largement marginale. Ils estiment aussi que dans les cinq ans à venir la lettre traditionnelle continuera d’être la forme de communication la plus pratiquée. Le «chat» en lign...
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