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Le retour en grâce de l’économie du bonheur

La poursuite du bien-être maximal a été confondue avec la maximisation de la consommation, puis du revenu et du PIB.

21 février 2016, 18h28
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Richard Layard, professeur à la London School of Economics (LES) et cofondateur en 2010 du mouvement Action for Happiness, s’intéresse beaucoup au bien-être des gens. «Au cœur de tous ses travaux, il y a le désir d’améliorer les politiques publiques et la vie des gens», dit de lui Martine Durand, chef statisticienne de l’OCDE. L’économie du bonheur, regardée avec scepticisme par nombre de praticiens, n’est pas, insiste Layard, une façon commode d’esquiver des tâches plus urgentes. Etudier ce qui...
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