03 juillet 2013, 21h44
Partager
Les dirigeants économiques et politiques de ce pays n’ont effectivement procédé qu’à des restructurations cosmétiques et à des liquidations de dettes en douceur, aux conséquences désastreuses pour leur système bancaire qui ne put survivre qu’à la faveur d’incessantes perfusions. L’Etat fut donc contraint de prendre à son compte à la fois les dettes de banques désormais qualifiées à juste titre de «zombies», mais également celles de l’ensemble du secteur privé japonais sinistré pour avoir fait tr...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT