20 décembre 2015, 20h05
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Depuis 2008, les renflouements bancaires ont entraîné un important transfert de pertes privées vers les contribuables d’Europe et des États-Unis. Le récent renflouement de la banque grecque constitue un récit édifiant sur la manière dont la politique (dans ce cas précis, celle de l’Europe), est destinée à maximiser les pertes publiques en vue de bénéfices privés incertains.
En 2012, l’État grec insolvable a emprunté 41 milliards d’euros (45 milliards de dollars, soit 22% du revenu national en b...
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