26 novembre 2015, 21h19
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Le creusement du déficit courant américain dans les années 2000, puis le fait que la crise financière est née dans le secteur immobilier américain (crise des subprimes) laissaient présager une poursuite de la dépréciation de la devise américaine. Or, le dollar s’est apprécié en pleine tourmente financière. Et, sept ans après la faillite de Lehman Brothers, le dollar est plus fort en termes effectifs qu’il ne l’a jamais été depuis le début des années 2000. Ce paradoxe suggère que le lien entre po...
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