23 octobre 2013, 22h01
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Ceux qui réclament une division des deux grandes banques suisses (par séparation de leurs activités: investissements d’un côté, épargne et crédit de l’autre) et donc une diminution importante de leur taille, gage selon eux d’une plus grande sécurité, sont convaincus qu’ils épousent ce faisant la volonté profonde du peuple. Il est vrai que celui-ci, traumatisé par la débâcle financière de l’UBS (2007-2008), demande que les grandes banques cessent d’être un risque pour le système financier tout en...
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