25 mars 2012, 18h00
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A première vue, l’arrangement «volontaire» avec les créanciers privés de la Grèce peut paraître un succès certain. La dette publique grecque a été réduite de plus 100 milliards d’euros (106 milliards exactement). Les partenaires européens de la Grèce lui ont octroyé un nouveau prêt de 130 milliards d’euros, ce qui a évité une faillite généralisée des banques grecques et permis au gouvernement de payer les fonctionnaires.
La réalité est toutefois bien plus sombre que ne le laisse entendre ...
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