05 février 2015, 22h16
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Par sa mauvaise décision de garantir volontairement à tous les fournisseurs étrangers un taux de change de 1,20 franc pour 1 euro durant toute l’année 2015, le patron de la SSR Roger de Weck dilapide les recettes fiscales sur une large échelle. Encore un exemple qui montre que la SSR dispose de trop d’argent qu’elle n’a pas à gagner elle-même, ce qui la rend paresseuse et encline à une mauvaise gestion. Il existe, dans la gestion de la SSR, un énorme potentiel d’économies qu’il conviendrait de m...
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