05 octobre 2016, 20h24
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Lorsque les électeurs irlandais ont rejeté le traité de Lisbonne en 2008, l’UE leur a imposé de voter à nouveau, jusqu’à ce qu’ils se prononcent en faveur de la «bonne» décision. Un an plus tard, au moment où l’implosion des banques irlandaises privées menaçait de provoquer de sérieuses pertes pour les créanciers privés du pays (principalement allemands), Jean-Claude Trichet, alors président de la Banque centrale européenne, a immédiatement «informé» le gouvernement irlandais que le BCE fermerai...
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