14 janvier 2014, 21h48
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Malheureusement, la chancelière allemande Angela Merkel, telle l’incarnation du changement radical d’attitude des Allemands à l’égard de l’intégration européenne, a exclu cette possibilité. Antérieurement à sa réunification, l’Allemagne constituait le principal moteur de l’intégration; aujourd’hui, compte tenu du coût supporté en direction de cette réunification, le contribuable allemand se refuse farouchement à devenir celui dans la poche de qui les pays européens débiteurs viendraient puiser.<...
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