26 mars 2013, 21h45
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Plus les temps sont durs, plus on en demande à la politique monétaire. C’est particulièrement vrai aujourd’hui, où les pays industrialisés souffrent des suites des crises bancaires et d’endettement et où la croissance économique stagne. Dans la plupart des cas, les gouvernements ne jouent pas pleinement leur rôle d’acteur politico-économique, préoccupés qu’ils sont avant tout d’assainir leurs finances publiques. Seules les banques centrales semblent encore capables d’agir.
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