Jacques Neirynck
Ancien conseiller national
07 janvier 2018, 18h22
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En ce début d’année, il est bon de faire son examen de conscience et de se demander si l’on est vraiment aussi bon qu’on le croit. On ne peut achopper que sur l’excès de l’excellence. Les Suisse sont trop bons.
Cette pathologie porte un nom, on l’appelle «suissitude», par analogie avec vicissitude et béatitude. En risquant une définition, on pourrait dire que c’est la vicissitude de la béatitude, le malheur de l’homme heureux, la souffrance de la santé, l’ennui de la réussite. Quand on a ...
Cette pathologie porte un nom, on l’appelle «suissitude», par analogie avec vicissitude et béatitude. En risquant une définition, on pourrait dire que c’est la vicissitude de la béatitude, le malheur de l’homme heureux, la souffrance de la santé, l’ennui de la réussite. Quand on a ...
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