15 juillet 2020, 19h07
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La surpondération en actions semble justifiée à ce stade post-crise, phase habituellement associée à des rendements à deux chiffres. Ce qui s’apparente à une déconnexion entre sphère financière et sphère réelle n’est rien d’autre que la fonction des marchés qui est d’anticiper les sorties de crise.
Les actions mondiales affichent au deuxième trimestre leur plus forte hausse depuis 2009 (+18%) après leur plus forte baisse depuis 2008 (-21% au T1 2020). Le retracement est allé bien au-delà d’un b...
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