19 avril 2012, 22h38
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Le déni de réalité, la résistance au changement et l’incohérence morale n’épargnent pas les organes de certaines caisses de pension publiques. L’exemple de Genève est patent, car c’est le pire de Suisse (lire l’étude de Jérôme Cosandey, La barrière de röstis des caisses de pension cantonales, Avenir Suisse). Le taux de capitalisation y est en effet, à la fin du premier trimestre 2012, inférieur à 50% (calculé sur la base d’un taux technique de 3,5%) pour la CIA, la caisse des fonctionnaires cant...
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