17 juillet 2015, 9h06
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La gestion de la crise grecque, et par voie de conséquence de l’euro, est une tragi-comédie dont on risque fort de ne pas voir la fin avant longtemps – et le gagnant dans cette affaire, pour autant qu’il y en ait un, n’est pas forcément celui qu’on croit. Mais revenons aux faits et aux responsabilités respectives des différents acteurs.
Les faits
Les indicateurs économiques sont clairs pour la période 2008-2014 (sources: ITC et www.awex.be):
Chute du PIB: environ 25%; Déficit cumulé de la ba...
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