Dans le langage des financiers, tous les animaux de la jungle et des déserts ont un rôle à jouer. Les éléphants, les baleines, les scorpions, les pieuvres, les fourmis, trois coups et le rideau est levé. Voilà les habitués, les lièvres et la tortue. La vitesse et la sagesse, qui franchira riche la ligne d’arrivée.
Encore une fable avec une morale discutable. Le requin a mangé la licorne et le tigre a remplacé le ketchup par du start-up. L’argent facile qui tombe du ciel fait partie des accidents de l’histoire, les petits malins de la martingale ont réduit leurs beaux costumes dans l’armoire et les marchands de rendements certifiés se spolient parmi. Les abeilles à miel sont au menu du gros frelon. C’est injuste. Quel animal pécuniaire choisir pour tirer son épingle du jeu?
La tortue suisse, celle qui distribue des menus dividendes. Des menus dividendes? Oui, mais très souvent.