27 février 2014, 22h04
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Pendant longtemps, les autorités de surveillance bancaire se sont contentées d’entretenir des relations de coopération relativement satisfaisantes pour superviser les instituts financiers actifs globalement. Plus récemment, elles ont manifesté le souhait d’intervenir en cas de besoin sur place pour se faire une idée des activités des filiales étrangères d’une maison-mère. Plusieurs pays ont toléré ces contrôles sur place sans restriction. Pour sa part, la Suisse, en raison du secret bancaire, a ...
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