Jacques Neirynck
Ancien conseiller national
21 janvier 2018, 17h51
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L’assurance maladie créée en 1959 a défini un patient helvétique démuni de mâchoire. Elle prend en charge le foie, les pieds, les yeux, un peu moins les oreilles, mais pas du tout les dents. On serait bien curieux de savoir pourquoi, quelles considérations vaseuses ont induit le législateur du siècle passé à exclure les soins dentaires. On n’en n’imagine que deux.
Pour certains esprits, les caries dentaires sont le résultat d’une addiction coupable au sucre et d’une négligence de la brosse à de...
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