07 juin 2015, 20h09
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Unanimement célébrée, la «démocratie des actionnaires» est vue comme la solution miracle pour éviter les abus en tous genres. Le Conseil fédéral a donc décidé de lui donner de l’ampleur à l’occasion d’une révision du droit de la société anonyme superflue. Ce zèle réglementaire, conjugué à l’introduction d’une «obligation de vote» maladroite pervertit toutefois le but poursuivi. La démocratie des actionnaires en sortirait à la fois transfigurée et distordue.
Dans la démocratie des actionna...
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